La naissance du projet !
Cette idée de projet collectif est née grâce à une expérience qui a été un énorme virage dans ma vie.
C’est suite à un cycle de « féminin sacré » que j’ai vécu à la Sainte Baume en 2019 avec Aude Ferte que je me suis mise en chemin vers moi-même, et en particulier vers la femme puissante et créatrice que je suis, une sorcière des temps modernes, une guérisseuse d’âme au service du vivant !!
Ce cycle a été une expérience initiatique mêlant des pratiques créatives, chamaniques, tantriques et autres méditations actives, un parcours de 5 mois sur les passages de vies : de la naissance, à la puberté, en passant par la maternité, la ménopause et la renaissance. J’ai encore une profonde gratitude de toutes les transmissions que j’ai reçues à cœur ouvert grâce à Aude.
J’ai eu la chance d’y rencontrer beaucoup de belles Âmes, avec ce que je considère être des retrouvailles d’âme.
Cheminer aux côtés de toutes ces femmes, engagées dans leur chemin de guérison, qui se sont ouvertes en même temps que moi à leurs dons, leurs talents et leurs connexions à l’invisible, a été extrêmement inspirant. Comme une autorisation d’être différentes.
C’est de notre lien fort de sororité qu’est venue l’envie de partager un collectif, un collectif de partages, d’échanges, d’apprentissages.
Il nous a paru évident qu’il fallait poursuivre notre chemin même après ces cinq week-ends partagés ensemble.
Alors, j’ai eu l’élan de lancer ma chorale de femme et en parallèle des réunions pour échanger sur ce projet collectif.
Les premières graines étaient plantées!! C’était une joie de nous retrouver régulièrement à partager ces belles vibrations du chant.
Et à côté de cela, de rêver ensemble d’un monde de connexion à la nature, à la musique et aux enseignements ancestraux, un espace où nous retrouver et grandir encore ensemble.
Nous avons essayé de nous retrouver pour ces échanges autour du sacré de la vie un week-end par mois. Ce fut laborieux et joyeux à la fois. Au final, on a réussi entre deux confinements à se retrouver, peut-être quatre/cinq fois dans l’année. Mais j’ai compris progressivement, le temps de faire le deuil de ce que j’avais imaginé, que peut-être c’était plus moi qui avais la vision de ce projet et que nos chemins n’allaient peut-être pas continuer ensemble sur ce projet.
Je vous en dis plus bientôt,
Alix
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